‘On avance ou on recule ?’
Je vous offre un truc infaillible :
…en OCTOBRE : se termine par RE donc on recule l’heure
…en AVRIL: Débute par AV donc on avance l’heure
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Pendre la crémaillère est une expression qui se retrouve dans une tradition médiévale. Au Moyen Âge, la cuisson se faisait avec une marmite dans l’âtre de la cheminée, afin de cuire plus ou moins fort la nourriture, on utilisait une crémaillère qui permettait de pendre la marmite plus ou moins loin du feu.
La crémaillère était la dernière chose installée dans une maison, les habitants ne pouvaient donc pas y manger avant qu’elle ne soit installée.
Lors de la construction d’une maison, il était de coutume d’inviter à venir manger toutes les personnes ayant contribué aux travaux, amis, familles, etc., afin de les remercier. La pendaison de crémaillère était une façon de dire aux amis et à la famille, la maison est finie, on pourra festoyer ensemble.
Aujourd’hui, cette expression signifie inviter les amis à un repas, ou à une fête, pour célébrer un emménagement (même lorsque l’habitation n’a pas de cheminée).
source: www.wikipedia.forg
Le projet de loi qui créait du même souffle la Régie du logement du Québec, laissait aux seuls propriétaires et aux locataires le soin de convenir de la date d’échéance du bail. Cependant, les dispositions transitoires de la loi prévoyaient la prolongation automatique des baux venant à échéance le 30 avril ou le 1er mai 1975 pour les prolonger jusqu’au 30 juin 1975. La mesure a été bien accueillie par de nombreux Québécois, puisqu’elle évitait aux familles les problèmes reliés au transfert des enfants d’une école à l’autre à quelques semaines de la fin de l’année scolaire.
Depuis, les Québécois, en particulier ceux des villes centre de Québec et Montréal, où les locataires sont fortement majoritaires — 65 % à Québec et 75 % à Montréal — ont pris l’habitude de faire coïncider l’entrée en vigueur des baux avec le 1er juillet. On estime qu’entre 200 000 et 250 000 ménages — soit 20 % de tous les ménages locataires du Québec — changent de domicile durant la période de déménagement, qui culmine le 1er juillet.
La Fête du déménagement ou Journée nationale du déménagement est un phénomène social québécois. Chaque année, entre 200 000 et 250 000 ménages québécois changent de domicile le 1er juillet ou dans les jours qui précèdent la fête du Canada.
Source : www.wikipedia.org
J’ai appris à le faire Ataya : En wolof, c’est la cérémonie du thé à la menthe. Sa préparation et sa dégustation toujours accompagnées de longues discussions font l’un des charmes de ce pays. Pour les Sénégalais, l’un des moments les plus importants de la journée. Il faut savoir prendre le temps de s’asseoir sous l’arbre à palabres pour y passer une après-midi paisible. Ce thé à la menthe, véritable cérémonie, se boit en trois fois et on a coutume de dire que le premier (l’eweul) est amer comme la mort, le deuxième |
(niarel) est doux comme la vie et le troisième (tarhis) est sucré comme l’amour. |
Entre 2000 et 1200 avant JC, on parlait déjà d’un arbre (L’épicéa, arbre de l’enfantement), le jour du 24 décembre, puisqu’on considérait ce jour comme la renaissance du soleil. Les celtes avaient adopté un calendrier basé sur les cycles lunaires. A chaque mois lunaire était associé un arbre, l’epicea fut celui du 24 décembre. Pour le rite païen du solstice d’hiver, un arbre symbole de vie était décoré avec des fruits, des fleurs et du blé.
En 354, l’Eglise institue la célébration de la naissance du Christ, le 25 décembre, pour rivaliser avec cette fête païenne. Initialement la célébration de Noël se résumait à la messe de la nativité. |
On raconte qu’un moine évangélisateur Allemand de la fin du VIIe siècle, Saint Boniface (né en 680), voulait convaincre les druides germains, des environs de Geismar, que le chêne n’était pas un arbre sacré. Il en fit donc abattre un. "En tombant, l’arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son passage à l’exception d’un jeune sapin". A partir de là, la légende fait son oeuvre. Elle raconte que Saint Boniface a qualifié ce pur hasard de miracle, et déclaré dans sa même prédication : "Désormais, nous appellerons cet arbre, l’arbre de l’Enfant Jésus." Depuis, on plante en Allemagne de jeunes sapins pour célébrer la naissance du Christ. |
Au XIème siècle, l’arbre de noël, garni de pommes rouges, symbolisait l’arbre du paradis. C’est au XIIème siècle que la tradition du sapin est apparue en Europe, plus précisement en Alsace.
On le mentionne pour la première fois comme "arbre de noël" en Alsace vers 1521. Au XIVème siècle, les décorations étaient composées de pommes, de confiseries et de petits gâteaux. A cette même époque, l’étoile au sommet de l’arbre, symbole de l’étoile de Bethleem commença à se répandre. Ce sont les protestants en 1560 qui développèrent la tradition du sapin de noël pour se démarquer des catholiques. Au XVIIème et XVIIIème siècle apparaissent les premiers sapins illuminés. On utilisait des coquilles de noix remplies d’huile à la surface desquelles des mêches flottaient ou des chandelles souples nouées autour des branches. |
C’est en 1738 que Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, roi de France, aurait installé un sapin de noël dans le château de Versailles. On trouva par la suite de plus en plus d’arbres de Noël particulièrement en Alsace-Lorraine, où existait déjà la tradition du sapin.
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En 1837, la duchesse d’Orléans Hélène de Mecklembourg, d’origine Allemande, fit décorer un sapin aux Tuileries. Cette tradition se généralisa après la guerre de 1870 dans tout le pays grâce aux immigrés d’Alsace-Lorraine qui firent largement connaître la tradition de l’ arbre de Noël aux Français. C’est à cette période que le pays entier adopta cette tradition.
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Ces illuminations constituent une tradition fortement ancrée dans la vie de la cité et attire des centaines de milliers de visiteurs chaque année.
Cette tradition est née il y a près d’un siècle et demi. Le 8 décembre 1852, doit avoir lieu l’inauguration de la statue de la Vierge Marie, érigée sur la colline de Fourvière. Un moment important pour tous les croyants de la ville puisque cet événement avait été reporté à cause d’une crue de la Saône. Il aurait dû à l’origine se dérouler le 8 septembre, jour de la fête de la Nativité de la Vierge et date anniversaire du vœu des échevins de 1643. Or en ce soir du 8 décembre, alors que la Fête se prépare et que les notables catholiques lyonnais proposent d’illuminer les façades de leurs maisons comme cela se fait traditionnellement pour les grands événements, un orage s’abat sur Lyon et menace une fois de plus la cérémonie. Mais heureusement le temps redevient clément. Alors la population qui avait tant attendu cette manifestation illumine d’un geste spontané ses fenêtres et descend dans les rues. Elle conservera cette coutume jusqu’à nos jours.
Autour de cette fête religieuse et traditionnelle, des mises en lumière spectaculaires sont effectuées depuis quatre ans dans le cadre d’un « festival lumière » devenu « Fête des lumières », pendant 4 jours autour du 8 décembre, en parallèle du Plan Lumière qui réalise une scénographie lumineuse dans tous les quartiers de la ville en mettant en lumière les principaux sites et monuments de la ville et qui fait désormais référence en France et à l’étranger.
Le 25 Novembre, jour de la Sainte Catherine, est le jour des Catherinettes. On y fête les jeunes filles de 25 ans qui ne sont pas encore mariées. La tradition veut qu’elles portent un chapeau extravagant aux tons jaunes et verts confectionné pour ou par elles, à leur image.
Origine de cette tradition
Sainte Catherine d’Alexandrie a vécu au IIIe siècle. Sa légende rapportée en France par le croisés, raconte qu’elle est morte vierge et martyre. Elle fut d’abord attachée à une roue munie de pointes, qu’elle parvint à briser par ses prières.
Elle fut ensuite décapitée et de son corps jaillit du lait. Puis elle fut portée part des anges sur le Mont Sinaï.
Née à Alexandrie au sein d’une famille noble, Sainte Catherine se convertit au christianisme à la suite d’ une vision. Très intelligente, elle suit les cours des plus grands maîtres chrétiens.
Elle est la seule sainte du paradis à posséder trois auréoles : la blanche des vierges, la verte des docteurs et la rouge des martyrs.
Sainte Catherine est aujourd’hui la patronne des filles à marier, mais aussi des théologiens, philosophes, orateurs, notaires, étudiants, meuniers, plombiers, tailleurs …
La tradition de Sainte Catherine remonte au Moyen âge. A l’époque, les filles de 25 ans qui n’étaient pas encore mariées revêtaient des tenues et des chapeaux extravagants et se rendaient en cortège devant une statue de Sainte Catherine pour la parer de fleurs, rubans, chapeaux … Elles coiffaient Sainte Catherine dans l’espoir de trouver un mari !
Elles allaient au bal et celles qui voulaient trouver un mari se mettaient un chapeau complétement fou sur la tête. Elles y accrochaient des objets jaunes et verts pour se faire remarquer.
Elle fut vénérée dès le moyen âge dans de nombreuses églises, ou des jeunes filles non mariées venaient le jour de sa fête, honorer sa statue et renouveller sa coiffure. C’est de là qu’est venue la tradition encore très répandue "de coiffer Sainte Catherine" pour les jeunes filles qui atteignent 25 ans sans être mariées. Dans l’industrie textile, où Sainte Catherine a été adoptée comme patronne des fileuses, la Sainte Catherine est fêtée par un bal des catherinettes.
Dans le nord de la France les jeunes filles s’envoient ce jour la des cartes de la Sainte Catherine pleines de souhaits et de doux espoirs.